Vendredi 1 mai
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10:57
Il arrive un moment, après de longues caresses solitaires, lorsque mon membre tendu se trouve à la rupture de l'orgasme, lorsque mes jambes ne peuvent plus me porter
et que tout le désir de mon corps et de mon cerveau s'est réfugié au bas de mon ventre. Il arrive alors que je sois pris d'une envie sodomite.
Comme une femme, j'ai envie d'être pris, d'être rempli, de sentir au fond de moi, à l'intérieur, au creux de mes entrailles, un dard puissant me fouiller.
Alors, je me saisi d'un gode...
J'ouvre les jambes, ces jambes de femmes gainées de nylon rouge, et j'écarte le fond de mon string, dégageant ma raie culière.
C'est une sensation que les femmes connaissent bien. Une sorte d'offrande du corps, un abandon total. Un sentiment comme une sensation de faim, une fringale qui ne sera apaisée que par une
intromission profonde et durable...
Maintenant, seule la vulgarité, la crudité du langage, peuvent essayer de rendre compte des sensations qui m'enflamment alors.
Ca rentre tout seul dans mon trou en chaleur.
Je me sens comme une femelle qui se fait remplir.
Je suis comblé.
Je suis assis sur le gode et je remue mon bassin pour le faire entrer et sortir doucement. Ca me baise bien. ma trique est énorme, raide... mes couilles ne demandent qu'à lâcher leur
semence...
Par Homme en lingerie
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