Homme en lingerie
J'ai envie de m'astiquer.
Ca me prend comme ça, comme une envie d'éternuer, presque chaque jour. Je ressens une lourdeur dans le bas-ventre et comme un picotement sous les testicules. Des images me traversent le cerveau : des chattes, des queues, des culs... Sous l'effet de ces visions, le sang afflue dans mes parties génitales. Ma verge gonfle un peu, s'alourdie...
Je ne bande pas encore, mais je sais que je vais le faire, que c'est plus fort que moi...
Dans ma tête, les images se précisent... des jambes gainées de noirs, une guêpière, une queue raide qui apparaît au milieu du frou-frou noir du satin...
Je me touche un peu par-dessus mon pantalon et constate que ma verge forme une grosseur sous le tissu. Le bout de mes doigts suit le contour de ma queue, de mes couilles...
Je vais dans ma chambre, ouvre le tiroir qui dissimule ma lingerie. Je fouille dans l'amas soyeux. Ce seul contact aiguise mon désir.
Je prends une paire de collants.
Pourquoi je fais ça? Je ne sais pas. C'est une pulsion sexuelle, la promesse d'un plaisir aigu. Je ne réfléchi plus, mon cerveau s'ankylose et mon bas-ventre prend le relais. Je ne suis plus qu'un chien en rut obsédé par la recherche du plaisir...
J'enfile le collant noir dans lequel j'ai fait un trou pour laisser sortir ma queue. Par dessus, je passe un string au tissu zébré.
Ces préparatifs achèvent de m'exciter. Ma bite raide se devine par transparence sous le string.
Quelques caresses du dout des doigts. Je perçois la chaleur, la raideur de ma chair à travers le tissu. Je tire sur le string, mon gland s'échappe sur le côté. Ma queue se glisse à l'extérieur du string., raide, décalottée.
Je suis si énervé, qu'elle tient droite toute seule, émergeant du trou dans le collant.
Je referme la main autour et la branle doucement. De longues caresses. de longs va-et-vient sur toute la longueur de la tige qui a pris la consistance d'un os. Je fais durer le plaisir, laissant lentement monter le sperme du fond de mes couilles.
Quand, après d'interminables minutes, je n'en peux plus de me retenir, je laisse partir mon sperme. Des mouvements secs et rapides le long de ma queue. Les muscles de mes cuisses se crispent. Ma verge se contracte entre mes doigts et le foutre gicle par saccades. En quelques secondes, mes couilles se vident, me soulageant comme d'un poids au niveau du bas-ventre.
Mon sperme s'étale en grosses gouttes blanches et nacrées...
La tension se relâche dans tout mon corps et le goût acre du remords envahit ma bouche.
Ca me prend comme ça, comme une envie d'éternuer, presque chaque jour. Je ressens une lourdeur dans le bas-ventre et comme un picotement sous les testicules. Des images me traversent le cerveau : des chattes, des queues, des culs... Sous l'effet de ces visions, le sang afflue dans mes parties génitales. Ma verge gonfle un peu, s'alourdie...
Je ne bande pas encore, mais je sais que je vais le faire, que c'est plus fort que moi...
Dans ma tête, les images se précisent... des jambes gainées de noirs, une guêpière, une queue raide qui apparaît au milieu du frou-frou noir du satin...
Je me touche un peu par-dessus mon pantalon et constate que ma verge forme une grosseur sous le tissu. Le bout de mes doigts suit le contour de ma queue, de mes couilles...
Je vais dans ma chambre, ouvre le tiroir qui dissimule ma lingerie. Je fouille dans l'amas soyeux. Ce seul contact aiguise mon désir.
Je prends une paire de collants.
Pourquoi je fais ça? Je ne sais pas. C'est une pulsion sexuelle, la promesse d'un plaisir aigu. Je ne réfléchi plus, mon cerveau s'ankylose et mon bas-ventre prend le relais. Je ne suis plus qu'un chien en rut obsédé par la recherche du plaisir...
J'enfile le collant noir dans lequel j'ai fait un trou pour laisser sortir ma queue. Par dessus, je passe un string au tissu zébré.
Ces préparatifs achèvent de m'exciter. Ma bite raide se devine par transparence sous le string.
Quelques caresses du dout des doigts. Je perçois la chaleur, la raideur de ma chair à travers le tissu. Je tire sur le string, mon gland s'échappe sur le côté. Ma queue se glisse à l'extérieur du string., raide, décalottée.
Je suis si énervé, qu'elle tient droite toute seule, émergeant du trou dans le collant.
Je referme la main autour et la branle doucement. De longues caresses. de longs va-et-vient sur toute la longueur de la tige qui a pris la consistance d'un os. Je fais durer le plaisir, laissant lentement monter le sperme du fond de mes couilles.
Quand, après d'interminables minutes, je n'en peux plus de me retenir, je laisse partir mon sperme. Des mouvements secs et rapides le long de ma queue. Les muscles de mes cuisses se crispent. Ma verge se contracte entre mes doigts et le foutre gicle par saccades. En quelques secondes, mes couilles se vident, me soulageant comme d'un poids au niveau du bas-ventre.
Mon sperme s'étale en grosses gouttes blanches et nacrées...
La tension se relâche dans tout mon corps et le goût acre du remords envahit ma bouche.
Mar 28 avr 2009
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