Homme en lingerie

Voici un nouveau récit, avec photos, d'Huguette qui s'amuse une nouvelle fois avec les habits de sa tante...

Ma tante rentre chez elle vendredi soir. Encore quelques jours pour profiter encore une fois de ses trésors de lingerie de femme mature et satisfaire ma passion du travestissement...

Comme chaque fois, je prends bien soin de ne pas trop déranger ses affaires et je m’offre une dernière séance d’essayage très juteuse. Pouvant disposer de ma soirée, j'ai même passé la nuit chez elle, seule, travestie en matrone en chaleur...

La même excitation que les autres fois me prend lorsque j’ouvre ses tiroirs et que je fouille dans sa lingerie.

Mon clito commence à s’alourdir dans la petite culotte en dentelle rose de ma tante.

Je découverte de superbes protèges bas en nylon et j’essayage un porte jarretelle gaine couleur chair, un modèle ancien, mais que je trouve follement excitant. Puis j’enfile une paire de bas fumés en nylon. Je me contemple dans la glace de la chambre de ma tata. Mon clito excité pointe entre les attaches du porte-jarretelles… N’y tenant plus, je me rends dans la salle de bains et fouille la corbeille à linge de ma tante.

Je renifle ses vêtements qui portent son odeur. Je frotte une de ses culottes sales contre mon clito gorgé d’excitation. J’enfile dessus un bas mousse noir destiné à la machine à laver. La vision de mon clito dressé enveloppé dans le nylon me rend folle. Je me branle lentement en me regardant dans la glace du lavabo. Je tiens l’autre bas dans ma main et m’enivre du parfum de la chair de ma tante. Mon plaisir est immense à me branler dans un bas porté par ma tante. Le contact du nylon est délicieux. Afin de ne pas laisser de traces de ma passion cachée, je lache ma semence dans le lavabo. Pourtant, l'envie était grande de voir tout mon sperme de trav gicler sur les mailles de ses bas de vieille cochonne.

Puis, voulant profiter au maximum de cette dernière soirée, j'ai enfiler une superbe paire de bas nylon à talon renforcés qu'elle ne porte plus depuis certainement des années. J'ai glisser mes pieds voilés dans ses mules en feutrine "vieux rose" et me suis mise à faire claquer les talons en parcourant sa maison tout en remuant du popotin comme une salope. Mon clito est très vite redevenu raide. J’étais encore si excitée, que je me suis glissé dans le jardin de sa maison, heureusement située à la campagne, pour me prendre en photo. J’ai pris des poses lascives.

La peur de me faire surprendre augmentait mon excitation et, n'en pouvant plus, me suis offert une baise solo avec un de ses godes trouvés il y peu de temps dans le fond d'une armoire. L’idée de savoir que le gode qui me pénétrait le cul venait de la chatte de ma tante, a provoqué mon plaisir. J’étais si excitée, que mon jus a atterri sur les rosiers.

Repue, je me suis endormie comme une masse sur son divan, toujours travestie, et le matin, l'envie était de nouveau en moi. Il me fallait rentrer, mais j’ai tout de même pris la décision d'emprunter une vieille paire de ballerines oubliée dans une armoire du sous sol et qui m'allait comme un gant. Au retour, mon appareil numérique plein de photos coquines, j’ai fais un détour par un lieu de drague homo en pleine campagne. Je traîne rarement dans ces endroits, étant essentiellement gouine mais quand l'envie est là…

Et puis, je garde toujours espoir de rencontrer une copine comme moi, mais le trav est rare dans les campagnes nivernaises. J’ai toujours avec moi une paire de bas bien cachés dans ma voiture provenant d'un emprunt à long terme à ma femme qui bien heureusement porte du taille 4 avec ses fortes mensurations. Malgré l’heure peu propice au rendez-vous libertin, je constate qu’une voiture est garée dans un coin. Son conducteur, un homme d'une soixantaine d'années, est vite émoustiller de me voir sortir de ma voiture en bas et ballerines. Je lui demande de me prendre en photo avant de m'occuper de sa jolie petite queue toute raide qu’il a sorti de sa braguette ouverte.

Après les photos, je m’agenouille devant lui et lui offre ma bouche affamée. La réputation du trav pour la pipe n'est plus à faire et il me demande d'arrêter constatant qu'il n'allait pas tenir longtemps sous les vas et viens motivés de ma bouche gloutonne. Alors je lui enfile une capote, trop excitée à l’idée de me faire prendre par une queue modeste en mensurations, n'ayant pas une chatte anale très ouverte. Après l'engodage de la vieille du gode de ma tata, sa petite queue est rentrée sans peine. Même si je ne suis pas trop large de la chatte, j'ai la chance de jouir très vitre de l'anus. Il m'a fait partir plus de cinq fois comme une femelle avant de remplir sa capote d'une jouissance qui le fit hurler de plaisir. Après avoir jouit, il me caressa tendrement en me demandant si l'on pouvait se revoir…

Je me suis dépéché de rentrer à la maison avant le retour de ma femme avec cette excitation dans ma tête qui me disait:

Ma tante est loin d'imaginer que ses ballerines servent à faire des saloperies à une salope de mon genre.

Un jour prochain, je vous raconterais en détails mes essayages avec les affaires de ma grosse cochonne de femme.

Bises à tous les amateurs et amatrices

huguette